EXTRAIT : U CATENACCIU
Nous étions enfin arrivés à Piantarella et nous avions quitté le véhicule. Il s’était retenu de sourire en me voyant rafler mon appareil photo, puis nous fîmes quelques pas sur le port. Tout était calme, tout était clair. Certes, les estivants n’avaient pas encore envahi notre Île et nous pouvions profiter de son incontestable beauté. Il marchait auprès de moi et j’avais l’impression qu’il avait quelque chose d’important à me dire.
Enfin, il demanda :
— Avez-vous téléphoné à votre époux pour lui narrer votre délicieuse baignade ?